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26 août 2011 5 26 /08 /août /2011 07:43

 

 

 

 

L'existence du premier " château " souterrain, la dite " Roche " de Brézé, est confirmée à partir de 1063.

En revanche le château de surface n'était au départ qu'un simple " habergement ", appartenant aux seigneurs de Brézé. C'est seulement au 15ème siècle qu'un premier château médiéval est édifié à Brézé et que l'on fortifie en creusant des fossés. A cette époque-là le propriétaire du domaine est la famille de Maillé-Brézé.

 

Château de Brézé

 

 

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Aujoud'hui il est difficile d'imaginer l'aspect de ce château médiéval car il a laissé place à un château Renaissance restauré et agrandi au 19ème siècle, tel qu'il est à présent. La famille de Maillé-Brézé occupe le domaine pendant 300 ans. Grâce au mariage de la dernière des Maillé-Brézé avec le Prince de Condé, le château passe entre les mains de la puissante famille de Condé.

L'actuel propriétaire, Jean de Colbert, est descendant des Marquis de Dreux-Brézé par sa mère et du célèbre Ministre de Louis XIV, Jean-Baptiste Colbert, par son père.


 

                                   Les Douves.

 

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Ce sont des douves sèches les plus profondes d'Europe, atteignant 18 mètres de profondeur par endroit. Elles ont été creusées en deux phases: d'abord au XVème siècle, puis approfondies un siècle plus tard. Les fossés font le tour complet du château.

 

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                         La Roche de Brézé.

 

Antérieure au XIème siècle, la " Roche de Brézé " est la partie la plus ancienne du château connue de nos jours. Le coeur du premier habitat souterrain creusé à 9 mètre de profondeur sous la cour d'honneur.

 

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Le puit de lumière

 

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Autour de ce " puits de lumière " ont été creusées en trèfle les trois pièces d'habitation.

 

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A l'intérieur du puits, l'accès à l'habitat souterrain se faisait par un couloir étroit et coudé qui permettait le passage d'un seul homme à la fois.

 

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                        La Boulangerie.

 

Cette boulangerie troglodytique est la plus grande connue en France.

 

 

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Elle est équipée de trois fours: un petit sur la gauche dit " four à confiseries " et de deux fours à pain. Jadis, près de 100kg de pain pouvaient sortir à chaque cuisson.

 

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                    Tour des Douves.

 

Au point culminant, la hauteur  du fond des douves jusqu'au sommet du château dépasse 40 m. Un réseau de carrières s'étand tout au tour des fossés. Plusieurs galeries creusées sous les douves permettaient d'accéder d'un côté à l'autre. On peut constater plusieurs bouches à feu, des postes de tir qui étaient desservis par ces chemins cachés.

 

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L'ancien chemin de ronde creusé ouvre sur des postes de tir d'où les soldats pouvaient, tout en défendant les douves et les celliers seigneuriaux en face, éviter les tirs ennemis. Celui-ci donne dans l'échauguette d'angle.

 

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                        Salle des Pressoires.

 

C'est ici qu'on pressé le raisin depuis le XVème siècle jusqu'en 1976.

 

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                 Salle de foudres

 

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             La cour d'honneur.

 

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           Les appartements de Pierre de Dreux Brézé.

 

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 Pierre de Dreux-Brézé Evêque de Moulin.

 

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Le cabinet de travail à côté représente les éléments typiques du style néo-renaissance " plafond à caissons "

 

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                 Le couloir rouge.

 

Ce couloir a été réaménagé au 19ème siècle et desservait alors les chambres de domestiques. Y logeaient ceux dont les fonctions étaient les plus importantes au sein du châteaux.

 

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          La chambre Richelieu.

 

Cette pièce est la plus ancienne du château.

 

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                      La grand galerie.

 

Cette galerie a été construite au XIVème siècle pour y organiser les banquets et autres réceptions des Dreux-Brézé.

 

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       La charpente de la coupole. Réalisée en châtaignier " ce bois est connu pour rtepousser naturellement les araignées ".

 

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 15:31

          Le syndicat d'intiative de Bessé sur Braye vous propose " Côté Jardin ".

 

 

Au milieu d'un parc boisé de 70 ha, en accès libre à la promenade se cache un magnifique ensemble néo-gothique du XVème et XVIème siècle.
La poterne, porte d'entrée Renaissance est classée "Monument Historique". Elle est surmontée de trois niches et d'une frise qui court sur les tours rondes, coiffées de calottes d'ardoises à lanternons.

 

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Durant 5 générations, le château sera déserté par les Le Tellier jusqu’à ce qu’en 1780, Louise Charlotte Françoise Le Tellier, héritière de Courtanvaux à la 6ème génération, née le 25 juin 1765, épouse Elisabeth Pierre Comte de Montesquiou. Le contrat de mariage fut passé au château de Versailles «de l’agrément et avec la permission» du roi, de la reine et de toute la famille royale. La bénédiction nuptiale fut donnée en la chapelle de l’hôtel du marquis de Courtanvaux, aïeul de la mariée.

Le comte et la comtesse fient des travaux de restauration considérables et, à l’instar de Monsieur Pierre Phaure, ancien Président du Syndicat d’Initiative et auteur d’une longue chronique sur Maman’Quiou, l’on peut écrire «et affirmer sans se tromper que c’est grâce à eux que cette remarquable demeure est encore aujourd’hui dans l’état qu’admirent les visiteurs». Le comte fut élu Maire de Bessé pendant 16 années consécutives et les Besséens lui doivent de nombreuses autres réalisations.

 

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Dans la cour d'honneur, l'évocation d'un "jardin à la française", orné de massifs d'annuelles, de rosiers et d'un parterre de simples bordé de nitida et d'ifs taillés en cylindre court, vous attendent pour un début de promenade.

 

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                                                                      Côté Jardin

 

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                                                                 A l'année prochaine.

 

           Je serai encore là.

 

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                              FIN

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 11:35

 

 

Le château a été construit sur un promontoire dominant la Loire et l'Arrou.

 

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Ce lieu est fortifié depuis des temps très anciens. Le premier château de Blois est construit au cours du 9e siècle

Après avoir été le fief des puissants comtes de Blois et celui de Charles duc d’Orléans, le château de Blois devient avec Louis XII, né à Blois en 1462, la demeure favorite des rois de France pendant plus d’un siècle.

 

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Blois est le premier chantier lancé par François Ier et ses successeurs y résident volontiers. François II y passe la moitié de son court règne et Henri III y organise deux fois les Etats généraux du royaume pour tenter de mettre fin aux guerres de Religion (1576 et 1588). C’est à cette occasion que le château de Blois devient le théâtre de l’assassinat du duc de Guise, accompli sur ordre du roi le 23 décembre 1588.

 

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Le 16e siècle est aussi à Blois le siècle des reines : s’y succède Anne de Bretagne, dont le remariage avec Louis XII permet le rattachement de la Bretagne à la France, puis Claude de France, qui a laissé son nom aux prunes qu’elle fit cultiver dans les jardins de Blois. C’est là aussi que vécut et que mourut Catherine de Médicis, après le bref règne de Marie Stuart. Est également attaché à Blois le souvenir des deux épouses du roi Henri IV, Marguerite de Valois, la « reine Margot », et Marie de Médicis qui s’en évada en 1619.

 

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Refuge au 17e siècle des princes en exil, Marie de Médicis, Gaston d’Orléans, Marie-Casimire de Pologne, le château devient caserne à la veille de la Révolution. Classé Monument historique dès 1840, il connaît la mue d’une restauration conduite par Félix Duban qui lui rend son éclat. Le château est devenu un lieu de culture accueillant plusieurs musées.

 

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 10:20

 

Déjà cité au VIe siècle, sous le nom d' Ucerum (chronique des Turons), le site occupe une situation stratégique, adossé à la Forêt de Chinon, il contrôle le chemin de Chinon vers Tours, et la navigation sur la Loire et l'Indre.
On trouve dans l'enceinte du château des traces d'occupation préhistorique. Enceintes et vestiges gallo-romains (petit tumulus et tombes).

Le premier seigneur connu des terres d'Ussé fut en 1004, le redoutable viking GUELDUIN 1er de Saumur ("Le diable de Saumur"), qui porte les couleurs du Comte de Blois Eude et Thibault II, édifia la première forteresse en bois.

Guelduin, guerrier redoutable avait été Seigneur de Saumur, en 1004 il est cité comme Seigneur d'Ussé, de Saumur et de Pontlevoy.
Son fils Guelduin II, en 1040 lança la construction en pierre de la première forteresse.

 

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A l'origine le château d'Ussé était un lieu fortifié pouvant recevoir une petite garnison, il était entouré de tout un système défensif : douves, chemin de ronde couvert, mâchicoulis, tours d'angles dont le Donjon. Sa construction de base date du XIe, époque des Guelduins et d'Olivier d'Ussé, il sera modifié par Jean V de Bueil, seigneur d'Ussé en 1442.

 

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Les Jardins d'Ussé sont parmi les plus beaux jardins d'Indre et Loire, ils ont été aménagés par les familles de Valentinay, qui ont réalisé la construction de la terrasse avec l'aide de Vauban, dont la fille Jeanne avait épousé en 1691 Louis II Bernin de Valentinay.

Les jardins en terrasse d'Ussé ont été dessinés par Le Nôtre, créateur des jardins de Versailles. La construction de l'Orangerie date de 1664.

 

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ENTREE

Nous sommes ici dans la partie du 15e siècle. L'escalier à vis, en bois, a été réalisé au 19e siècle.

 

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Salle des gardes

Au 15e, cette pièce était l'entrée du château d'Ussé, avec pont-levis.

 

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L'ancienne chapelle ou salon Vauban

C'était la chapelle au temps du château fort. L'abside était alors à l'emplacement des fenêtres actuelles. Transformations toujours au 16e, puis aux siècles suivants, ce qui explique le mélange des styles aussi bien dans sa conception, que dans son mobilier. Privilège des demeures de famille qui ont ainsi évolué au fil des siècles en fonction des modes et des goûts des différents propriétaires.

 

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Le grand escalier

Nous devons cet escalier au célèbre architecte François Mansard ; c'est un bel exemple d'escalier droit, à rampe en fer forgé, du début du 17e, d'inspiration italienne.

 

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L'Antichambre

Réalisée au 17e, au moment de l'aménagement des appartements royaux, elle est meublée d'un très beau bureau "Boulle", du nom de son créateur André-Charles Boulle

 

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La chambre du Roi

Sous le règne de Louis XIV, il était un devoir, voire une obligation pour certains grands châteaux, de préparer un appartement pour le Roi.
Le château d'Ussé a le privilège de présenter des soieries d'époque. Celles que vous découvrirez, ont été réalisées dans les manufactures de Tours au 18e siècle avec des motifs d'inspiration chinoise, selon la mode du moment. L'ensemble, mobilier et décoration datent de 1770.

 

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La salle à manger privée de la famille Blacas (sauf exception) :
Entièrement restaurée au cours de l'été 2005, cette très belle pièce d'époque Louis XV présente en plus du mobilier, l'argenterie gravée aux armoiries des Blacas.
Le premier Duc de Blacas était ambassadeur à Rome et se devait d'avoir une belle table d'apparat pour ses dîners. Cet ensemble a été transmis au fil des générations.

 

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Vous pourrez aussi accéder au chemin de ronde afin de rencontrer "La Belle au Bois Dormant", "La Fée Carabosse",... et voir des scènes de la vie quotidienne au 19e siècle, admirer les charpentes...

 

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La chapelle

Édifiée en 1520 par Charles d'Espinay et sa femme Lucrèce de Pons (sur la façade vous découvrirez leurs initiales : C et L) Admirable chef d'oeuvre de la Renaissance, elle n'a jamais été restaurée. La Chapelle d'Ussé abrite une Vierge en faïence émaillée de Lucca della Robia et des stalles du 16e siècle

 

 

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Le château ouvre ses portes au public de mi-février à mi-novembre, en journée continue.

 Du 14 février au 31 mars : 10 h - 18 h (dernier billet délivré à 17 h)
* Du 01 avril au 31 août : 10 h - 19 h (dernier billet délivré à 18 h)
* Du 1er septembre au 11 novembre : 10 h - 18 h (dernier billet délivré à 17 h)

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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 08:20

 

 

Le Château du Lude met en scène l’art de vivre au jardin et à la maison. Cette fête, qui a lieu chaque année le premier week-end de juin, invite à une découverte ludique du Château du Lude autour d’un thème cher à sa propriétaire, les jardins !

 

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Les rosiers Belmontais: Hervé Signolet.

 

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- Expositions-vente : 60 exposants de l’Ouest de la France sont rigoureusement sélectionnés pour proposer au public : plantes rares, rosiers, arbustes, bulbes, vivaces, plantes aromatiques, graines potagères, bambous, bonsaïs, mobilier de jardin, outillage, décoration et livres !

 

 

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La vie en vert: Topiaire de Claire et Jacques Aubert

 

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Et pour conclure .............

 

 

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Un petit mot de votre part me ferait un grand plaisir. Merci de votre visite.

                                              Paul.

 

 

 

Les rosiers Belmontais: herve.signolet@voila.fr

La vie en vert: www.lavieenvert-topiaire.com et contact@lavieenvert-topiaire.com

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13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 08:17
Le château de Beauregard, un château qui porte bien son nom. Il est au sud de Blois en direction de Cheverny.



Au début du 16e siècle, François 1er prend possession de la terre de Beauregard, il transforme le manoir qui se dressait là en rendez-vous de chasse. En 1521, il en fait don à son oncle René, surnommé le Bâtard de Savoie.





En 1545, Jean du Thier, secrétaire d’Etat du roi Henri II, acquiert Beauregard et agrandit considérablement le château originel.
En 1617, Paul Ardier, ancien trésorier de l’Epargne d’Henri IV, achète Beauregard et pousuit l’aménagement intérieur.

Lors de l’entrevue qui eut lieu à Blois entre Louis XIII et sa mère, Marie de Médicis, Richelieu, se sentant peu en sécurité au château de Blois, vint loger à Beauregard avec sa compagnie de mousquetaires.






En 1655, le fils cadet de Paul Ardier, le marquis de Vineuil, reçut au château Louis XIV et sa cousine, la duchesse de Montpensier.

                                               La cuisine.




                                         Premier étage.





                           La salle Louis XIV

Cette pièce fut au 16e siècle utilisée en complément de la galerie lors des réception en tant que salle à manger.



La galerie des Illustres


Dans cette galerie de 26 mètre de long par 6 mètre de large, Paul Ardier a rassemblé, durant la première moitié du 17e siècle, la plus important collection de portraits connue en Europe : 327 portraits ornent les murs de cette salle.



La galerie se trouve entièrement pavée de faïences de Delf du 17e siécle, peintes à la main.

La grande bibliothèque





Le cabinet des Grelots

Le cabinet d’étude est réputé pour ses boiseries de chêne. Elle furent commandées par Jean du Thier à Scibec de Capri, ébéniste italien du roi Henri II.

 

 

Le plafond à caissons, entièrement chevillé. Au sein du caisson central figurent les armes de Jean du Thier, « d’azur à trois grelots d’or ».


Le parc et les jardins.

































La visite du château se termine ici. Pour ceux qui voudraient l’adresse.

Château de Beauregard

41120 Cellettes.

Je vous rappelle qu’il est interdit de faire des photos à l’intérieur du château. Enfin, heum, heum. ( Pas se faire prendre).




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3 juillet 2009 5 03 /07 /juillet /2009 08:05
A une dizaine de kilomètres de Chinon, à travers une jolie petite route entourée de vignobles, découvrez le Château du Rivau, à Lémeré.

Edifié au XVème et XVIème siècles, fortifié en 1442 par Pierre de Beauvau, humanisé par la Renaissance, mi-château d’agrément mi-forteresse. Le château du Rivau, tout en blancheur et en lumière, a été restauré grâce à Eric Laigneau. Son épouse, Patricia Laigneau, propriétaire du château, a recréé les jardins : six hectares extraordinaires et 12 espaces consacrés à la création végétale évoquent les contes et légendes du Moyen Age.



Le château de Rivau conserve encore les caractéristiques d’une forteresse médiévale avec donjon, chemin de ronde, douves, archères…

 

Mais, c’est aussi un des premiers châteaux d’agrément de style Renaissance avec de splendides cheminées, des coussièges et des décorations intérieures réalisées par des maîtres artisans italiens de l‘époque.




Immortalisé par Jeanne d’Arc et Rabelais, le Rivau est un joyau parmi les grands châteaux du Val de Loire. Restauré avec passion, le Rivau est un ensemble architectural unique : le château-forteresse habité par une exceptionnelle collection familiale de trophées de chasse, les écuries Renaissance, la grange de la Toison d’Or, le pressoir l’apparentent à un château de légende. Les douze jardins enchanteurs, inspirés des manuscrits et des contes et légendes du Moyen-Age invitent à une promenade de plaisirs. Les surprises s’y mêlent à la fantaisie. Le Rivau est un coup de coeur pour tous les amoureux d’Histoire, de patrimoine, de jardins, d’expositions d’art ou de fêtes estivales.

 

 

 

 

 

Les seigneurs de Beauvau, illustre famille apparentée aux comtes d’Ajou puis alliés aux Rois de France possédaient la terre du Rivau depuis le XIIIe siècle. Jeanne d’Arc s’arrêta au Rivau avant le  siège d’Orléans pour y quérire des chevaux.

 

 

 

 


Nés d'un rêve devenu réalité au coeur de la Touraine, les jardins du Rivau conjuguent avec brio la tradition et la modernité. Conçus pour être l'écrin du château restauré, ces jardins sont une ode aux plaisirs des sens grâce aux couleurs, textures et senteurs des plantes choisies. Les Jardins du Rivau sont enfin un livre ouvert sur l'imaginaire. Contes de fées et belles histoires se rencontrent au détour des allées pour raviver les souvenirs de l'enfance.









Le labirynthe d'Alice au Pays du Rivau.



La forêt enchantée.




La famille pot de fleur.


La foret qui court.


La cabane de l'Ogre.


Le chemin des Fées.






L'attrait du Rivau est d'avoir conservé jusqu'à nos jours, l'authenticité mêlée au raffinement de la vie des Grands seigneurs du Moyen-Age, proches compagnons du roi.




Le jardin secret.


La salle de l'oratoire.


La petite chapelle.




Le grand logis.



La salle du festin de Balthazar.





La salle des Dames.


Au mur, la tapisserie de Bruxelles du 16e siècle a pour héroïne, la reine Zénobie.




Classés "Jardin Remarquable" et labellisé collection de roses parfumées, les 12 jardins du Rivau entremêlent collections botaniques et inventivité jardinière. Chaque jardin se colore au fil des saisons de multiples et successives floraisons. Guidés par des topiaires en formes de lutins, fées ou créatures fantastiques, les promeneurs des jardins du Rivau renouent avec le passé historique du site.

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 08:53
A quelques kilomètres d'Azay-le-Rideau, blottie au creux d'un vallon s’ouvrant sur l’Indre et la forêt de Chinon, la Chatonnière, joyau de fleurs, est un château Renaissance à sept tours entouré d’un écrin de jardins où la liberté et la fantaisie se mêlent à une pensée savante.


Bâti autour d’une source et d’un habitat troglodyte, le château de la Chatonnière est d'abord une place forte sur la route romaine qu'emprunte, au Moyen Age, Jeanne d'Arc et qui, les guerres de Cent Ans et de Religions terminées, s’entoure d’un vaste domaine s’étendant de l’Indre à la Loire. Habitée du XVIe au XVIIIe siècle par trois familles au service des rois de France.




 La Chatonnière, ensorcelle, en 1955, Manuel Gonzalez de Andia, duc de Dino, père de Béatrice de Andia qui, 30 ans après, métamorphose le château en imaginant des jardins..






Océan de fleurs de mars à novembre, les jardins de la Chatonnière répartis en terrasses sur 12 hectares, voient fleurir successivement 40000 narcisses en mars et avril, de somptueuses collections d’iris, de pivoines, de clématites en mai, 5000 rosiers et 6 hectares de coquelicots en juin, de fantastiques agapanthes en juillet, 2500 dahlias en aout et 2000000 de cyclamens en septembre octobre.







Chaque année, 20.000 visiteurs viennent respirer le parfum des fleurs, des milliers d’enfants découvrent les cycles des fleurissements, des centaines de familles pique-niquent au milieu des parterres embaumés ou se retrouvent pour les fêtes des plantes et les marchés d’art et d’artisanat local, des dizaines de peintres cherchent à saisir sur le vif les couleurs des coquelicots ou des roses et des amateurs d’art et de musique se laissent bercer par les senteurs qui se dégagent lors des concerts en plein air.










Venant d’Angleterre ou de Hollande, pays des fleurs, poètes et photographes se mêlent aux touristes pour interroger Ahmed Azéroual, le chef jardinier, le médecin des plantes, le magicien des fleurs qu’ils croisent au détour d’un massif embaumé.






                                       Le bonheur du promeneur.





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8 juin 2009 1 08 /06 /juin /2009 10:06

 Le château du Lude surplombe la riante vallée du Loir de ses quatre puissantes tours rondes. Malgré l'apparente régularité de son plan en quadrilatère, le château a connu plusieurs états successifs et de nombreuses modifications qui ont même fait pivoter son orientation de 180° au XVIII siècle.

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Au 10e s, la forteresse primitive, « le castellum Lusdi » appartient aux comtes d'Anjou. Du fait de sa position, elle sert à défendre l'Anjou contre les incursions des Normands, puis des Anglais durant la guerre de 100 ans. C'est au 13ème siècle, qu'une nouvelle forteresse élève ses six tours près du château primitif. Elle appartient aux Vendôme en 1378. Prise par les Anglais en 1419, elle est délivrée par Gilles de Rais, le légendaire Barbe Bleue, en 1427, au terme d'un combat victorieux. Gilles de Rais reprend la place avant de rejoindre Jeanne d'Arc à Orléans. Il reste quelques vestiges de cette forteresse dans la tour nord-est et dans les sous-sols.

 

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Le chambellan et ami d'enfance de Louis XI, Jehan de Daillon né à Bourges en 1423, prend possession du domaine du Lude en 1447. Le domaine restera dans sa famille jusqu'en 1685.


En 1751, Le Lude devient la propriété de Joseph Duvelaër, chef du Conseil de la Compagnie des Indes. Sa nièce, la Marquise de La Vieuville, fait débuter une nouvelle campagne de travaux. Celle-ci est mené sous la direction de l'architecte Barré qui s'est illustré quelques années plus tôt à Montgeoffroy. Barré supprime l'avant cour, remplace le corps de logis ouest par le portique actuel et édifie l'aile classique de style Louis XVI. Il donne ainsi une nouvelle orientation au château.

 

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la Marquise de La Vieuville défend le Château pendant la Révolution. Ses descendants, les Talhouët-Roy, entreprendront tout au long du XIXème siècle de vastes travaux de restauration.
Depuis 250 ans dans la même famille, le Lude est aujourd'hui la propriété du Comte et de la Comtesse Louis-Jean de Nicolaÿ, qui poursuivent la tradition de restauration et d'embellissement, notamment par la création de nouveaux jardins.






                         Le week-end des jardiniers 2009.































                                   Les cuisines du château



















                                   L'orangerie et le potager















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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 15:52

S'il est un village qui méritait bien d'être admis dans le cercle très fermé de l'Association des plus beaux villages de France, c'est, sans nul doute, Lavardin.
Un pont gothique enjambe le Loir pour accéder à ce village blotti au pied d’un château fort qui résista à l’assaut de Richard Cœur de Lion mais fut pris par les troupes d’Henri IV.
On peut en admirer aujourd’hui les vestiges des enceintes et des tours et son donjon haut de vingt-six mètres.






Le château, dont le bâtiment le plus visible et le plus remarquable est le donjon, est construit sur un promontoire qui domine la Vallée du Loir (la rivière fait une boucle à cet endroit).
Les Comtes de Vendôme lui ont donné une envergure exceptionnelle !

Dans le village, les styles et les époques se mélangent, des maisons troglodytiques aux demeures gothiques et Renaissance...







Situé à quelques kilomètres de Vendôme, Lavardin est sans doute l’un des plus beaux villages de  France.

              Montoire sur le Loir.                                         
















Chapelle St Gilles.

Cette chapelle romane du 11ème siècle appartenait jadis à un prieuré bénédictin dirigé de 1566 à 1585 par le poète Pierre de Ronsard. La croisée du transept est couronnée d'une coupole sur pendentifs tandis que de splendides fresques ornent les murs.



                             


                                             Les ruines du château de Montoire.









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